Conter pour les plus petits (et pour leurs grands, bien sûr) signifie se rapprocher du cœur de l’oralité : jouer avec la voix, avec les sons des mots, avec les onomatopées, les berceuses et les comptines.
Les histoires se déroulent sur la main : un espace qui peut sembler réduit, mais qui offre des possibilités infinies d’imaginer des mondes, de compter, de faire apparaître et disparaître des personnages en fonction de la position des doigts.
Lorsque les livres accompagnent le récit, ils sont cartonnés, sans mots, avec des couleurs nettes, des trous et des volets et des tirettes pour jouer, remplis d’onomatopées pour faire des vers et des sons ensemble.